C’est l’un des grands procès à venir pour le milieu de la vidéo pornographique. Dans l’affaire French Bukkake, du nom d’un ancien opérateur de production et de diffusion sur Internet de films X, 16 hommes devraient être jugés devant la cour criminelle départementale de Paris pour plusieurs faits, parmi lesquels, selon les cas, viols, viols en réunion ou traite d’êtres humains. Deux individus devraient, quant à eux, comparaître devant le tribunal correctionnel, dont l’un pour travail dissimulé, qui échappe finalement à la cour criminelle. C’est le sens d’un arrêt rendu le 6 février par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. Une information confirmée mardi 11 février au soir, de source judiciaire.
Cette décision est une étape-clé dans le long processus menant vers ce procès très attendu, emblématique des violences sexuelles dénoncées dans l’industrie du porno et considéré comme majeur, à l’instar de celui des viols de Mazan. En l’espèce, cela tient au nombre très important de mis en cause et de plaignantes, à la gravité et la multiplicité de faits qui s’étendent de 2013 à 2020, au système organisé de prédation décrit par les enquêteurs et à la consommation à grande échelle de contenus pornographiques qui en ont résulté. Depuis un an et demi, l’ampleur et le périmètre de ce procès font néanmoins l’objet d’un débat judiciaire.
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