La Commission européenne a annoncé, mardi 27 mai, l’ouverture d’une enquête contre les quatre plateformes pornographiques les plus importantes – Pornhub, Stripchat, XNXX et XVideos – qui, juge-t-elle, n’ont pas pris de mesures suffisantes pour éviter « tout effet négatif [de leurs services] sur les droits de l’enfant, le bien-être mental et physique des utilisateurs ».
Au vu de la régulation sur les services numériques, le Digital Services Act (DSA), elle regrette l’absence d’outils « appropriés » sur ces sites pour vérifier l’âge des utilisateurs et protéger les mineurs des contenus pour adultes. De fait, il suffit aujourd’hui d’un simple clic pour qu’un internaute y assure avoir plus de dix-huit ans, sans qu’on lui demande de prouver d’une manière ou d’une autre la véracité de ses affirmations.
« Notre priorité est de protéger les mineurs et de leur permettre de naviguer en ligne en toute sécurité », a souligné, mardi, Henna Virkkunen, la vice-présidente exécutive de la Commission en charge de la souveraineté technologique, de la sécurité et de la démocratie. « En collaboration » avec les Etats membres, « nous sommes déterminés à nous attaquer à tout ce qui peut nuire aux jeunes utilisateurs en ligne », a-t-elle poursuivi.
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