Incarcéré depuis une semaine pour viol, un étudiant en droit de 21 ans, issu d’une famille aisée, clame son innocence devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse. Sous l’effet de substances, il aurait eu un rapport sexuel non consenti avec sa compagne, une créatrice de contenus pornographiques.
« Je ne me rendais pas compte que j’étais couvé par mes parents. J’avais tout à portée de main, mais j’ai bêtement laissé passer ma chance », reconnaît le prévenu dans le box de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse.
Mis en examen pour viol et incarcéré depuis seulement une semaine, ce jeune homme de 21 ans, représenté par Me Jocelyn Momasso-Momasso, demande la fin de sa détention provisoire, invoquant son casier judiciaire vierge.
C’est une descente aux enfers pour cet étudiant de la faculté de droit du Capitole. Issu d’une famille aisée, avec un père avocat et une mère assureur, il n’avait jamais été confronté au monde carcéral. « Ses parents gagnent plus de 100 000 € par an », assure son conseil.
Des centaines de vidéos sur son téléphone
Peu après sa majorité, alors qu’il ne supportait plus l’autoritarisme de sa mère, ce Nantais de naissance rencontre une personne transgenre sur les réseaux sociaux. « Je me suis installé à Toulouse pour la rejoindre en 2022 ». Sa nouvelle compagne a un métier particulier. Elle gagne sa vie en vendant des contenus pornographiques sur internet. « Au fil du temps, j’ai tourné des vidéos avec elle. Des gens payaient sur Snapchat pour nous regarder. J’avais plus d’une centaine de films sur mon téléphone », reconnaît-il, gêné.
Ces dernières années, le couple est devenu une référence pour les adeptes de leurs pratiques. Certains auraient payé des fortunes pour obtenir une culotte usagée ou une partie de leurs spermatozoïdes. « Nous vivions bien mais je n’étais pas avec elle pour l’argent. J’étais capable de régler mon loyer tout seul », assure le détenu.
» La prison, c’est l’enfer »
Le 11 octobre, sous l’effet de la drogue, de l’alcool et d’un médicament, il aurait forcé cette femme à avoir un rapport sexuel. Quelques minutes plus tard, elle aurait fui chez des proches pour se plaindre d’un viol et a déposé plainte. « Nous avions l’habitude de fonctionner comme ça. Si j’avais su qu’elle était en souffrance, je n’aurais jamais agi de cette manière. Je regrette. Ce n’est pas un viol, je le promets ».
Arrêté puis mis en examen le 13 octobre, l’individu est incarcéré depuis 9 jours. « La prison est devenue un cauchemar pour moi : les bagarres sont quotidiennes, les rats se faufilent dans les cellules… Je me sens totalement étranger à ce monde. Je veux revenir chez ma mère. Je vais reprendre mes études et arrêter le cannabis », promet l’étudiant.
L’avocat général s’oppose fermement à la libération. « Des enquêtes toujours en cours et la gravité des accusations portées contre le prévenu nécessitent une détention provisoire », requiert le ministère public. La décision définitive sera rendue le 29 octobre
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