En Grande-Bretagne, une femme a considéré que ce manquement à la sociabilité montrait que son ex-entreprise ne la traitait pas comme ses ex-collègues.
Notre concurrent satirique Le Gorafi ne renierait pas cette histoire repérée par le Times. En Grande-Bretagne, une femme vient de perdre en justice contre son ancien employeur – le groupe de compagnies aériennes IAG – qu’elle accusait de harcèlement parce qu’elle n’avait, entre autres motifs, pas reçu de carte de départ. Aucun petit mot lui disant qu’elle manquerait à l’entreprise, personne pour lui souhaiter une «bonne continuation» ou de vivre «d’autres aventures riches en humanité». Sordide.
Licenciée en décembre 2021 dans le cadre d’une restructuration, Karen Conaghan a considéré que ce manquement à la sociabilité la plus élémentaire caractérisait «une négation de son existence au sein de l’entreprise» et une rupture d’égalité entre elle et ses collègues. Selon ses informations, d’autres personnes ayant quitté l’entreprise à la même période auraient reçu, elles, cette petite attention. Karen Conaghan a donc ajouté ce grief à la longue liste de ses motifs de plainte contre son entreprise pour «harcèlement sexuel», «persécution» et «licenciement abusif». Une fois au tribunal, l’histoire est devenue triste.
L’époque est dure pour tout le monde
Non seulement le juge a décrété invalides la totalité des motifs de poursuites, considérant que la plaignante avait adopté une «mentalité (relevant) de la théorie du complot» en prenant pour du harcèlement des «interactions normales sur un lieu de travail». Cette fois où une ex-collègue d’IAG a corrigé son orthographe du mot «sifflement» n’a, par exemple, pas ému le magistrat. Mais un membre de l’entreprise a dû venir expliquer qu’une carte d’au revoir avait bien été achetée. Pourquoi ne pas l’avoir transmise à Karen Conaghan ? Parce que seules trois personnes l’avaient signée le jour de son départ. Ce collègue chargé de collecter les signatures a estimé «plus insultant de la lui offrir dans cet état que de ne pas lui en offrir du tout», a résumé le juge. Le magistrat a également précisé que d’autres anciens collègues de la plaignante, licenciés à la même période, n’avaient pas non plus reçu de carte. L’époque est dure pour tout le monde.
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